Du mythe à la réalité

Invité

voila un sujet qui m'intéresse beaucoup de Aileen Carol Wuornos.

j'ai vu deja le film sur elle, c'est vraiment quelque chose.
je ne sais pas si elle était folle ou elle est devenue folle par la suite.
en tout cas certaines aspects qu'elle décrit dans le documentaire me semble que quiconque péterait le plombs.

ne pensais pas que je suis bizarre parce que je m'intéresse a un serial killer. quand j'etait plus jeune, je voulais exercer le métier de psychologue ou psychiatre criminologue pour adultes ou plutôt pour les mineurs et enfants.

bon, voila le descriptif de ce documentaire:
COLD CASE FILES Killer10

Entre 1990 et 1991, Aileen Carol Wuornos, une prostituée de 35 ans, a tué sept hommes, des clients qui l'avaient prise en autostop. Le FBI l'a désigné comme "America's first female serial killer", c'est à dire la "première tueuse en série". Son histoire a déjà inspiré quatre films de fiction et d'autres projets sont en cours. Nick Broomfield, un vétéran du film documentaire, réputé pour sa capacité à aller là où personne ne va, a pris connaissance d'une kyrielle de témoignages fallacieux pour établir un portrait précis de Aileen Wuornos. Parmi les faits les plus scandaleux mis à jour par le réalisateur, il y a une conspiration policière : un mois avant d'arrêter Aileen, des officiers de police ont approché Hollywood pour vendre l'exclusivité de leur récit. Le réalisateur apprend aussi que chaque personne qui veut approcher Aileen Wuornos doit passer à la caisse, graisser la patte à un essaim d'avocats et d'amis bien intentionnés. La criminelle est devenue un pion sur l'échiquier de la cupidité. En démontant les mécanismes du sensationalisme, Broomfield révèle le vrai visage d'Aileen, à la fois coupable et victime.

c'est monstrueux mais en même temps, elle devait avoir un grain pour accepter un tel contrat. je sais, on a put lui forcer la main mais tout de même.
et ces hommes biensur trop protégé, rien ne leurs est arrivé!

pauvre femme

le problème c'est que ça nous pousse a prendre en pitié une tueuse.

Invité

en analysant cette femme, ses actes, je ne suis pas de meme avis des experts américains pour dire qu'elle etait un serial killer.
pour moi , elle etait une prostitue qui accostait les hommes sur l'autoroute, elle offrait ses services et parfois, elle meme le dit qu'elle subissait des violes.
ensuite elle tuait ses hommes pour leur prendre de l'argent etc. alors pour moi, elle n'etait pas un vrai serial killer, parce que les raisons d'un vrai serial killer sont différentes.

bin si on prend l'expression serial killer, si, elle en est une tueuse en série, car c'est bien une série qu'elle à fait.

par contre c'est une serial killeuse qui sort de l'ordinaire à cause du motif et de sa façon de faire. elle n'est pas fasciné par la mort sous toute ses formes, elle n'a pas le même processus.
c'est ce qui la diffèrent des cinglés habituels mais elle est bien une tueuse en série.

Invité

alors, il y a beaucoup de gens, meme certains spécialistes en criminologie qui se trompent sur la vrai signification de serial killer.

j'ai etudie un peu ce sujet quelques annees auparavant.

alors, je vous donne la vrai définition de serial killer et comment on différencie un tueur psychopathe des autres tueurs:

Tueur en série
Un tueur en série est un meurtrier récidiviste qui a commis au moins trois meurtres, un intervalle de temps - de quelques jours à plusieurs années - séparant chacun de ces meurtres. Un tueur en série est souvent un psychopathe qui se caractérise par sa boulimie de meurtres, par le plaisir qu'il tire de ses actes, et par un sentiment très fort de supériorité ; mais il existe des exceptions[1].

Le tueur en série ne tue pas par idéologie (même s'il peut parfois sélectionner ses victimes sur des critères ethniques, religieux, sexuels ou autres), par fanatisme, et généralement pas par appât du gain. Le moteur du tueur en série est fréquement le sentiment de toute puissance que lui procurent ses crimes. Un forte proportion de tueurs en séries ont subit des violences ou des agressions sexuelles dans leur enfance.

Au regard de cette définition, les terroristes, les criminels de guerre, les tueurs de masse, les spree killers, les tueurs passionnels ou les tueurs à gages ne sont pas considérés comme étant des tueurs en série.

je vous mettrai pas l'origine du terme (sauf si cela vous intéresse)

Profil des tueurs en séries
Un tueur en série ne se distingue pas au niveau physique ou social. Il peut mener une vie sociale normale, par exemple, le tueur BTK, qui sévissait durant les années 70 et qui s'est fait arrêter dans les années 2000, avait une femme et des enfants, avait travaillé dans une agence de sécurité avant de travailler dans une église.

Il a été constaté qu'une forte proportion de tueurs en séries a subit dans leur enfance des sévices sexuelles, des violences physiques ou morales. Mais d'autres paramètres influent, car tous les enfants battus ou abusés ne deviennent pas des tueurs en séries[4].

Le mode opératoire et la signature
Chaque tueur en série possède des particularités qui peuvent permettre de l'identifier. L'étude des crimes de tueur en série est le domaine du profiling ou « analyse comportementale », qui vise à dresser un portrait psychologique du meurtrier.

Le mode opératoire et la signature des tueurs sont deux éléments distincts. Le mode opératoire est la méthode utilisée par le tueur pour attaquer ses victimes, sa façon de les choisir et de les aborder. La signature est un acte compulsif, quelque chose que le tueur ne peut s'empêcher de faire et qui est inconscient.

Le mode opératoire peut être similaire à d'autres meurtres, mais la signature est généralement unique, sauf dans le cas des copycat ou imitateurs, qui reproduisent les crimes d'autres assassins en série.

Typologie d'action
Les tueurs en série ont une forte individualité, chaque cas est particuliers, mais certains éléments peuvent caractériser leurs crimes. Les crimes commis par les tueurs en série peuvent posséder une ou plusieurs des caractéristiques suivantes :

Certains tueurs en série procèdent avec méthode et cherchent à contrôler le déroulement du crime. C'est la maîtrise de la situation qui provoque alors leur exaltation.
D'autres tentent de réaliser un fantasme au travers de leur crime, ce qui est souvent compatible avec l'aspect de maitrise précédent. Certains crimes ont des motivations sexuelles, d'autres non.
Quelques cas rares, comme Henri Désiré Landru, intègrent à leurs crimes une composante liée à l'appât du gain.
Une minorité est atteinte de troubles mentaux tel la schizophrénie, et certains cas rares de tueurs en séries sont des psychotiques compulsifs, qui tuent de façon impulsive,désorganisée, mais dont les crimes peuvent s'étaler sur une longue période de temps, ce qui les distinguent des spree killers qui eux réalisent généralement leurs crimes dans un très courts espace de temps.

voila, voila.

finalement dans le cas de cette femme, elle est psychopathe, meurtrier mais pas un serial killer car elle tue ses victime (meme en les choisissant) sans perversion accentuer, pas de la meme facon et sans sa signature.

Le terme "tueur en série" est donc mal choisi.

Invité

voila un nouveau sujet que je veux aborder ici dans Cold Case Files.

Infirmières bulgares
COLD CASE FILES Infir_10

et le medecin
COLD CASE FILES Medeci10

ces personnes étaient torturé, violes, etc, etc. un cauchemard.

voila un article:

Infirmières bulgares : le médecin raconte son calvaire dans les geôles libyennes

Ongles arrachés, viols, chocs électriques : le médecin d'origine palestinienne détenu pendant huit ans en Libye avec cinq infirmières bulgares a raconté à deux juges d'instruction français le calvaire qu'il a vécu dans les geôles libyennes.

Le Dr Ashraf Joumaa al-Hajouj, 38 ans aujourd'hui, a été entendu le 15 avril par les juges parisiens Philippe Jourdan et Yves Madre, chargés d'une information judiciaire pour "viols et tortures avec actes de barbarie par personne dépositaire de l'autorité publique".

Ce réfugié palestinien formé en Libye, interne à l'hôpital de Benghazi (nord), est arrêté en janvier 1999 par la police libyenne, soupçonné avec cinq infirmières bulgares d'avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants, dont 56 sont décédés.

"J'ai été frappé au visage et sur les pieds. Je leur ai dit que chercher la vérité c'est une chose, mais que chercher un bouc émissaire, c'en est une autre", affirme le médecin, selon le compte-rendu d'audition consulté vendredi par l'AFP.

Le général libyen Harb Derbal, directeur général de la direction centrale des enquêtes pénales, "m'a répondu : +(...) que tu sois mêlé ou pas, nous, on te mêlera et on trouvera les preuves pour cela+", poursuit-il.

L'enquête judiciaire en France a été ouverte en février à la suite d'une plainte déposée par le médecin en décembre 2007 par l'intermédiaire de l'association Avocats sans frontières France lors de la visite du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi à Paris.

La plainte vise nommément M. Kadhafi, qui jouit de l'immunité conférée par sa fonction de chef d'Etat, cinq policiers, dont le général Derbal, et un médecin.

Ashraf Joumaa al-Hajouj détaille devant les magistrats les tortures qu'il assure avoir subies : ongles arrachés, viol par un berger allemand, menaces d'un viol similaire contre sa soeur, coups de bâton sur la plante des pieds...

"J'étais ligoté dans la position du +poulet+ avec une barre à la pliure des genoux et au-dessus des avant-bras, les chevilles attachées et repliées contre les fesses. Puis j'ai été frappé", raconte le médecin naturalisé bulgare et qui vit aujourd'hui en Bulgarie.

"On m'enfonçait un fil de fer d'un diamètre de 6 mm entre les doigts d'une main sans perforer la peau et on tordait les fils, les doigts étant attachés. J'en porte toujours les traces", confie-t-il.

Ces séances de tortures, au cours desquelles il avait les yeux bandés, se sont concentrées au début de sa détention, "jusqu'en septembre 1999".

"Au début ça a été très intense et après ils ont utilisé l'électricité, de façon irrégulière, en fonction de leur fantaisie", explique-t-il.

Deux des cinq infirmières qui partageaient son calvaire ont également été torturées en sa présence.

"J'ai reconnu sous l'emprise de la torture que j'avais contaminé les enfants, que je collaborais avec la CIA et le Mossad. J'étais prêt à tout reconnaître, c'était après l'épisode du chien", explique-t-il, estimant que "le but de ces tortures était de reconnaître une version qui était déjà prête".

Condamnés à la peine de mort avant que cette peine ne soit commuée en détention à perpétuité, le médecin et les cinq infirmières ont été extradés le 24 juillet 2007 à bord d'un avion gouvernemental français et immédiatement graciés par le président bulgare à leur arrivée à Sofia.

Les infirmières bulgares, un an après...

Un an après leur libération des geôles libyennes, les cinq infirmières et le médecin bulgares se sentent abandonnés
Alors qu'ils devaient recevoir des compensations, ils attendent toujours une pension.

Accusés d'avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants libyens, dont 56 sont morts, thèse démentie par les experts internationaux du virus HIV, ils avaient été torturés, condamnés à mort et emprisonnés plus de 8 ans en Libye avant d'être libérés le 24 juillet 2007.

Débat sur les infirmieres bulgares

voila un documentaire:
Infirmières bulgares : le grand marchandage
http://www.arte.tv/fr/Videos-sur-ARTE-TV/2151166,CmC=2061588.html

Pour revenir aux tueurs en série, il y en a de très intelligents comme par exemple le zodiaque aux Etats-Unis que personne n'a réussi à arrêter(ça fait trente ans). Il écrit de temps en temps à la police pour dire qu'il est vivant. Il a envoyé des tas de messages codés sous forme de cryptogrameset aujourd'hui la police n'a toujours pas réussi à déchiffrer trois lettres envoyées sur les 16...

On sait qu'il a commis cinq meurtres mais il en revendique 37, et la police oscille entre 37 et 200.

Les dernières nouvelles remontent à 1978. Dans sa dernière lettre, il voulait qu'un film soit fait sur lui. David Fincher le réalisateur de Panic Room a exaucé son voeu. Le film est sorti au cinéma en Mars 2007. Il existe en DVD.

Le zodiaque est le tueur en série parmi les plus énigmatiques... L'affaire a été close en 1997. Mais grâce à l'analyse de l'ADN, l'enquete est réouverte et permet d'innocenter quelques uns des 2600 suspects arrêtés et fortement soupçonnés....

En 2008, rebondissement, Un suspect dénoncé par son gendre qui trouvera des preuves, serait la clé de l'énigme. Mais il est mort en 2006....

Invité

si quelqu'un s'intéresse a ce sujet, voila un livre fort intéressant et effrayant.
COLD CASE FILES Entret10

Entretiens avec des tueurs en série de Stephan Harbort

Le commissaire Harbort approche le problème des tueurs en série d'une façon professionnelle par des interrogatoires de police qui permettent de mieux pénétrer dans la psychologie com-plexe de ces individus, aussi bien hommes que femmes. Chacune de ses
descriptions pourrait être un sujet de roman policier, malheureusement il ne s'agit pas ici d'histoires romancées.
Le commissaire Harbort est né en 1964. Il est considéré, en Alle-magne, comme un expert du com-portement des tueurs en série ainsi qu'un profiler. Il est commissaire principal à Düs-seldorf.
Il a été professeur de 1996 à 2000 à l'institut de police et collabore avec de nombreuses universités allemandes et étrangères. Il a
également participé au développement de la banque de données DRAGNET utilisée pour la recherche de serial killers.

Invité

voila un autre:
COLD CASE FILES Les_fe10

Ces femmes qui tuent sauvagement de Mike James

Les femmes meurtrières sont si rares que ce livre est une vraie trouvaille,
pour l’expert comme pour le profane. Les meurtres relatés ici sont aussi
divers et fascinants que celles qui les ont commis. Mike James souligne
délicatement les points communs entre les différents cas, sans amoindrir
l’effet des crimes qui parlent d’eux-mêmes.
Il y a entre ces histoires à la fois des similitudes et d’énormes différences.
Certaines femmes ont été maltraitées, d’autres étaient motivées par la
jalousie ou la cupidité. Beaucoup étaient, de toute évidence, sévèrement
atteintes au moment où elles jonchaient leur route des cadavres de leurs
proches. Il y en a d’autres qui étaient fortes et en bonne santé et
n’utilisaient les hommes que par pur intérêt, les tuant lorsqu’ils ne leur
servaient plus à rien.
Le livre commence par l’épouvantable histoire d’Omaima Nelson, qui ne
laisse aucun doute sur la capacité de violence des femmes. Toutefois, elle a
de bonnes circonstances atténuantes pour sa défense parce qu’elle venait
des bas quartiers du Caire, avait été excisée sans anesthésiant à six ans,
violée à dix puis à dix-neuf ans, et mise au ban de sa propre société.
C’était tout de même une femme solide, qui avait épousé un Américain pour
fuir son passé et avait émigré vers le pays de l’abondance. Après avoir
divorcé de son premier mari, elle avait travaillé comme nurse, puis
mannequin, et s’était remariée avec un homme beaucoup plus âgé qu’elle,
dont elle pensait qu’il serait gentil avec elle. Elle a pourtant fini par le
découper en morceaux, en faire des côtelettes qu’elle a mangées grillées au
barbecue. Etait-ce l’oeuvre d’une victime rejetée ou la vengeance d’une
femme mauvaise?
Après les côtelettes de Bill Nelson en hors-d’oeuvre, les histoires suivantes
nous paraîtront plus digestes, bien qu’elles n’en soient pas moins macabres.
Ce livre n’est cependant pas qu’un catalogue d’horreurs sanglantes, il
présente aussi la passionnante «Interview de Rhonda Belle Martin dans le
couloir de la mort», où celle-ci voudrait que quelqu’un lui explique enfin
pourquoi elle a assassiné des membres de sa famille… encore et encore et
encore.
Il comporte des meurtres commis aux Etats-Unis, en Angleterre et en
Australie et il est très intéressant de comparer l’attitude des femmes de
chaque continent. La meurtrière anglaise est froide et calculatrice, tandis
que l’Américaine penche vers la confusion et l’émotivité.
En tout cas, ces histoires révèlent une chose: l’idée que les femmes sont une
espèce fragile et délicate est aussi fallacieuse que celle de l’homme fort et
autoritaire.
Mike James

On parle toujours des tueurs en série, mais y a t-il eu des tueuses en série? Est ce que c'est propre à l'homme?

Invité

j' ai lu le dernier c' est vrai qu' on parl des hommes mais il y a aussi des tueuses !

Invité

alors, j'ai envie de vous proposez quelque chose.

Ceci est un test psychologique qui démontre à 100% une partie de votre caractère.

est-ce que vous avez envie de jouer? :interrogation: :interrogation: :interrogation:

alors je vous propose ce test:

Vous allez découvrir ci-dessous une histoire. Vous devez imaginez la suite par rapport à la question posée à la fin. Après avoir imaginer cette suite je vous demande d'ecrire votre fin d'histoire ou plutot la reponse a la question.

L'histoire :
Un jour d'hiver, une fille perd sa mère dans un grave accident de voiture. Quelques jours après se passent l'enterrement de la mère. C'est un enterrement très triste, tout le monde pleure. Dans l'église, il a un garçon présent que personne ne connait. Et, lorsque la jeune fille le regarde, elle en tombe directement amoureuse. C'est le coup de foudre ! Mais elle ne va pas le voir, elle est trop timide. Elle le fixe alors tout le temps de l'enterrement. Et lorsque tout le monde s'en alla, la jeune fille et le jeune garçon inconnu partirent chacun de leur coté sans s'être parler.
Bref, 15 jours passent. Et, on apprend que la soeur de la jeune fille meurt. Pourquoi à votre avis ?

(imaginez la suite dans votre tête..pourquoi la soeur de la jeune fille meurt elle 15 jours après ?) > le truc le plus logique selon vous.

Invité

donc a l'enterrement il y avait 2 filles kimi?

Je la connais et franchement ji pas eu la raction attendue à ce qu'on m'a dit ^^

Invité

oui minori , il y avait deux filles.

Invité

Souvent les soeurs ou freres ont les memes gouts pour le sexe oppose. Je dirais que sa soeur a remarque aussi le garcon, qu'ils sont tombes amoureux. Ce garcon est responsable d'une maniere ou d'une autre de l'accident. Par sentiment de culpabilite il lui dit la verite, et sa soeur se suicide, torturé entre ses sentiments pour lui et sa rancoeur pour cette meme personne, situation trop difficile a gérer.

Invité

BRAVO occult, c'est pas mal COLD CASE FILES 556510

très bien décrit, j'aime bien ta continuation de cette histoire.

bon analyse.

pour l'instant je reste mystérieuse sur la fin de cette histoire. j'aimerais d'autres personnes qui participent aussi.

qu'est-ce qui se passe?

il n'y a pas beaucoup d'interesses?

Invité

merci, merci. Moi aussi je m'aime beaucoup, LOL

Invité

je pense que le garçon est tombe amoureux de la fille et pour la revoir tue sa soeur??????????????????

Invité

ok,minori, pas mal comme raisonnement.

je vous attends, allez, allez, les autres..... donnez vos versions

L'une des soeurs à tué la mère pour hériter d'une partie de sa fortune. L'autre soeur est au courant mais faute de preuves elle voit en l'homme rencontré ds le cimetière, le parfait futur meurtrier de sa soeur. Ils montent le coup ensemble et en échange d'une partie de l'argent qu'elle a touché il la débarasse de sa soeur.

Invité

conan, alors la, pas mal ton histoire

un vrai scénario pour un film COLD CASE FILES 227658

ok, je valide ton histoire, mais avant de donner la bonne réponse et de voir qui est le gagnant lol!

j'attendrai encore un peu pour les autres.

:bisous25:

:merciflammes:

kimi

Invité

bon, je vois que personne d'autre participera a ce petit jeu, alors je vous donne la réponse:

Voici la réponse qu'il fallait donner :
La soeur de la jeune fille meurt car elle l'a tué pour pouvoir revoir le garçon qu'elle aime à l'enterrement.

Invité

Ah, j'etais a cote. Je croyais m'etre pas mal debrouiller, pourtant. LOL. Tant pis

Du mythe à la réalité

Le parfum des mystères

Du mythe à la réalité

Le parfum des mystères

Du mythe à la réalité

Le parfum des mystères